Collectif Virpil TCS Rotor Plus et poignée Hawk-60
Dédié à la gestion du pas du rotor, un collectif est la commande la plus typé d’un hélicoptère.
Le simmer se limitant rarement à piloter une seule machine virtuelle, il va s’équiper de différents équipements pour couvrir un maximum de besoins.
S’il faut classer les périphériques de vol en ordre de priorité d’achat, nous obtenons :
- Joystick
- Throttle
- Palonnier
- Boite à boutons et accessoires spécialisés.
Le collectif fait parti de la catégorie accessoires spécialisés. On ne le retrouve que sur un aéronef : l’hélicoptère.
C’est donc un périphérique peu présent sur le marché, fabriqué en quantités limités par quelques sociétés. La plupart des produits proposés sont parfois un peu simplistes ou artisanaux.
En 2021, 2 sociétés (Winwing et Virpil) ont proposé leur vision de cet accessoire. Elles permettent ainsi à tous d’accéder à des dispositifs de meilleure qualité. Aujourd’hui nous testons le collectif, façon Virpil. Vous remarquerez que l’auteur pinaille un peu sur des détails, mais quand on approche des 600 euros pour un contrôleur, on est en droit d’être exigeant.
Qu’est qu’un collectif :
La commande de pas collectif est un levier qui selon sa position détermine le pas (l’angle d’inclinaison des pales du rotor). Plus on tire la commande vers le haut, plus le pas est important. L’hélicoptère est alors supposé monter 🙂 Plus on repousse la commande vers le plancher, plus le pas diminue. En général, l’hélico descend… La commande est proportionnelle, c’est-à-dire qu’elle se comporte comme un axe. L’angle de la pale est directement lié à l’angle de la commande. Les actions à effectuer sur le collectif sont en général accompagnées de compensations au palonnier et à la puissance moteur.
En réel, il y a parfois un mixage mécanique palonnier/collectif pour simplifier le travail du pilote.
Pour la puissance moteur, en particulier sur les machines qui datent un peu, la commande du collectif comporte parfois une poignée rotative destinée à Controller le régime ou la puissance moteur. Dans DCS on la retrouve sur le Huey, le Hind… mais assisté d’un système de régulation de vitesse. Du coup la commande moteur s’avère peu utile en dehors de la phase de démarrage et d’arrêt.
Le concept virpil
Dans la continuité de sa gamme, Virpil a tenu à réaliser un système modulaire, composé d’une base, et d’une poignée amovible.
La base est déclinée en 2 versions : TCS et TCS plus.
- TCS propose de recevoir une poignée et permet de Controller le « pas collectif »
- La TCS plus est identique mais dispose en plus d’une poignée rotative équipée d’un bouton pour contrôler le régime/puissance moteur.
A la base, il faut donc ajouter une poignée. 3 références sont disponibles pour le moment. L’une est inspirée du Blackhawk, l’autre du Blackshark et une « générique » à la base orienté spacesim. Il est possible de monter d’autre poignées (Thrustmaster ou Virpil, mais souvenez vous que celle ci sera dans votre main gauche…).
Nous testerons ici la base « TCS plus » ainsi que la poignée « Hawk-60 ».
La base Rotoc TCS Plus
La TCS plus est donc une base joystick proposant 2 axes mais totalement dédiée à l’ergonomie d’un collectif. Il sera difficile d’imaginer l’utiliser pour autre chose. La construction respire la solidité. Elle reprend d’ailleurs le profilé alu utilisé par les bases joystick de la marque. Plutôt que des pièces moulées, ici les pièces usinées/assemblés sont majoritaires. Les quelques pièces plastiques profitent d’une finition plus basique. Avec par exemple les plans de joint des moules visibles et encore un peu agressifs. Rien de vraiment gênant mais c’est le genre de chose qu’on ne devrait pas trouver sur un périphérique à ce tarif.
Les débattements des axes sont mesurés via des capteur magnétiques. Cela garanti une usure nulle du système, donc théoriquement une grande fiabilité dans le temps.
Friction
Sur un collectif, il arrive qu’on lâche la commande pour effectuer des actions sur le tableau de bord, la console centrale… Le dispositif est donc naturellement équipé d’un systeme de durcissement du mouvement qui évite que la commande retombe sous l’effet de la gravité (et l’hélico avec) si on la relâche.
Le système de friction de l’axe collectif est réglable. Il est composé de 2 mâchoires qui sont contraintes par 2 vis qui travaillent en opposition. Le serrage des 2 vis définit l’intensité de la friction. Ces 2 vis BTR (six pans creux) sont accessibles sans démontage autre que d’enlever les bouchons de protection. Idéalement il faut un serrage identique sur les 2 vis pour une usure uniforme du système, mais tout le monde n’a pas de clef dynamométrique… Sans être compliqué, le réglage est un peu délicat car il s’effectue sur une rotation d’environ 25 degrés de la clef. Des vis avec un pas plus fin auraient étés bienvenues pour offrir plus de précision et de tolérance au réglage.
Question d’équilibre
On constate rapidement que le réglage n’est finalement pas aussi performant qu’on pourrait le souhaiter : le systeme de bras n’est pas équilibré, le bras a donc une tendance naturelle à retomber (merci la gravité). Pour compenser cela, Il faut mettre un peu plus de friction que ce que l’on souhaiterait (sauf si on aime les outils de muscu). La friction doit être réglée au plus juste pour contrer ce déséquilibre. Il faut dire que la longueur de bras de levier n’aide pas. L’ensemble est particulièrement long avec 49 cm du centre de rotation au haut de la tête du stick ! Pas équilibré mais aussi encombrant (et exposé au chocs).
Pour faire simple, la poignée est plus dure à tirer qu’à pousser. Réglé au plus fin, le « sur serrage » cela se traduit par une légère « sticktion » avant d’enclencher le mouvement. Plus particulièrement quand on tire/soulève la commande. Pour supprimer ce phénomène et pouvoir régler la friction de manière parfaite/précise; il faudra fabriquer un contrepoids ou un système de friction secondaire. Sans bricoler, on peut trouver le bon compromis en quelques minutes mais cela reste un peu frustrant tant c’est évidant dès les 1ere manipulations.
Point de vue usure, un resserrage des vis est nécessaire au bout des 1eres semaines d’utilisation. Sur la durée, il faudra attendre le verdict…
Course
Concernant la course physique, le débattement de l’axe collectif, Virpil propose 3 cames qui permettent de choisir entre 3 courses : 30, 40 et 50. Le point zéro/mini étant toujours identique.
Le changement de came est très simple à effectuer. Il faudra démonter (puis remonter) 9 vis. Ici contrairement aux autres bases de la marque, les cames ne sont pas liées à un mécanisme de ressort. L’échange se fait donc sans effort et sans autre outil que la clef BTR adaptée. Ouf ! on a connu bien plus pénible.
Chaque changement de came nécessitera de recalibrer les axes du système via le logiciel VPC Configuration Tool de Virpil ou de recharger un profil adapté. Au final, 2 butées réglables auraient sans doute été préférables à ce système de came pour faciliter l’installation et les réglages (dont nous allons parler dans quelques lignes). Cela aurait par exemple permis d’avoir un ange « zero » réglable sans avoir à refaire une équerre de fixation custom.
Version PLUS
La base TCS plus, dispose d’une poignée rotative pour la gestion RPM/Puissance. Cette dernière propose un angle de rotation d’environ 210°. Une partie de cette course est verrouillée par un bouton Idle. La course entre max et idle est d’environ 120°. Il faudra faire attention lors de la calibration de bien réfléchir avant si l’on souhaite utiliser 100% de la course, ou juste une partie de la course. Attention au sens de rotation qui, il me semble est différent sur les machines de l’EST et celle de l’OUEST. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’en terme de fonctionnalités, cet axe est très complet et adaptable en fonction des souhaits de l’utilisateur. Même si sur DCS, son utilité est relative ; avec d’autres simus, sur Robison par exemple son intérêt est bien réel.
L’axe est très précis à l’usage et dispose d’un réglage de friction (molette ajoutant de la pression sur une pince qui frotte sur le tube principal) très agréable et progressif. Une réussite.
Fixation de la base
Alors ici, on touche du doigt le point crucial de ce système : il faut pouvoir le fixer… quelque part !
La base est livrée avec une équerre qui doit etre accrocher à… quelque chose mais que Virpil ne propose pas.
Pour utiliser ce collectif, il faudra donc etre l’heureux possesseur d’un cockpit ou d’une chaise disposant de points de fixation. L’utilisateur devra lui disposer de plus ou moins de talent de bricoleurs pour adapter sa solution à l’équerre ou la base Virpil.
Choix d’ergonomie
Avant même de fixer le système, il faut résoudre une première difficulté : bien positionner le système pour qu’il soit pratique et confortable à utiliser. Sur ce point, le fabricant ne fournit aucune information et il faudra parfois plusieurs essais (bricolages…) avant de trouver la bonne position horizontale et verticale. Il faut aussi jongler avec le choix de la bonne came. Il faudra donc etre un peu patient et déployer un peu d’astuce pour tirer le meilleur de la TCS. La longueur du bras ne simplifie pas la tache non plus, quelques cm de moins auraient sans doute rendu l’installation un peu plus aisé ou tolérante.
A noter que Monstertech propose déjà des solutions pour leur chaise afin d’intégrer la TSC parfaitement.
On touche ici au défaut essentiel de ce système. Il faut être équipé pour pouvoir en profiter, Virpil ne fournis qu’une partie de la solution pour un collectif. Ne comptez pas utiliser le système dans les 5 minutes apres l’ouverture du colis. On est à aucun moment dans le plug and play, il faudra réfléchir, ajuster/corriger pour en tirer le meilleur. Par contre, une fois bien installé, on y pensera plus.
Enfin la base est connectée au hub ou à l’ordinateur par un très long câble USB dont l’un des connecteur est propre à Virpil. Pourquoi ne pas avoir utilisé un câble standard, facile à remplacer en cas d’attaque de chat sauvage ??? Mise à jour : au bout d’un ans, les soudures finissent par lâcher au niveau du connecteur « custom » et surmoulé : le démontage pour éventuelle réparation va nécessiter quelques talents de bricoleur et des outils adaptés. Pire encore, le probleme va se reproduire car l’on est face a un petit defaut de conception car ce qui fait casser la (ou les) soudure, c’est tout simplement le fait d’actionner le collectif… un comble. Pour y remédier à long terme, il convient de fixer le câble au corps du collectif et de compter sur la flexibilité du câble pour absorber les mouvements… cela tiendra plus longtemps mais reste loin d’etre idéal. Un connecteur USB standard aurait rendu la panne bien plus simple a gérer. Voila une vidéo qui vous explique comment réparer : http://www.youtube.com/watch?v=woRekRshynU
Poignée VPC Hawk-60 Collective Grip
Très inspirée du collectif du Blackhawk, ce n’est pas pour autant une véritable réplique. Les formes ergonomiques se rapprochent de l’originale mais certaines proportions sont différentes. Les marquages, tailles des polices ne sont pas toujours conformes tout comme les types de boutons… Bref, c’est bien inspiré mais loin d’être 100% exact. Cependant, le corps de la vraie est assez laid et Virpil nous propose une version plus esthétique, ce qui n’est pas déplaisant. Le fabricant a sans doute voulu favoriser les fonctionnalités à défaut du réalisme. Quelques boutons supplémentaires, c’est toujours bon à prendre, surtout avec l’Apache qui arrive.
Les boutons
Pas moins de 28 boutons (hats et détente inclus) sont accessibles assez simplement sur cette poignée. L’ergonomie repose essentiellement sur le travail du pouce, qui d’un simple balayage a accès à 27 boutons/position. On trouve un peu de tout, 4 hats avec fonction push (bouton multi directionnels), 1 toggle switch (interrupteur à bascule) momentanée (un ressort le ramène constamment en position centrale). Une belle variété qui devrait offrir pas mal de souplesse pour mapper cette poignée sur votre hélico favoris.
Les boutons ou fonction à poussoirs sont fermes avec un clic audible bien présent. On regrettera par contre la course très réduite de l’ordre du millimètre. On est loin du ressenti des vrais boutons avia (autour des 3 mm).
Le bouton poussoir EMER REL HOOK est doté d’une led multicolor. Option intéressantes si l’on souhaite gérer différentes couches de boutons.
La trigger/détente propose une course un peu plus conséquente avant un clic ferme. Comparée à la vraie, la résistance tout au long de la course est encore trop faible . Le clic d’activation en bout de course est lui tout à fait perceptible. La détente n’offre qu’un seul bouton malgré la longue pré course.
les hats
Les hats proposent tous 4 boutons + 1 push. Probleme, ils ne sont pas bridés point de vue mouvements. Il est donc tout a fait possible de les pousser, de se retrouver dans une des diagonales et de ne rien activer du tout. Si pour le Hat du pouce ou celui du centre ce n’est pas vraiment problématique en raison de leur positionnement idéal, pour les 2 autres, dans le feu de l’action, c’est un peu flou, voir imprécis. Dommage de ne pas avoir bridé la trajectoire afin d’interdire l’accès aux diagonales pour éviter les fausses manipulations.
Construction
Coté matériaux, on retrouve massivement de l’injection plastique avec une tôle rapportée et sérigraphié pour la tête.
Comme sur la poignée rotative de la base on retrouve quelques arrêtes un peu agressives liées au moulage des pièces, dont une sous la paume de la main… dommage.
La poignée se raccorde au bras de la base via un connecteur souple (type Thrustmaster) et une bague de serrage. Il est possible de pivoter la poignée vers le pilote pour plus de confort, une option bienvenue.
La poignée laisse un arrière-gout de « c’est bien, mais à ce tarif, on voudrait mieux ». Ce n’est pas vraiment un probleme de qualité, mais simplement qu’on a l’impression d’avoir en main un joystick qui pourrait valoir nettement moins que le tarif affiché. La concurrence propose mieux pour un budget similaire.
Logiciel
Le logiciel Virpil ne fait pas l’unanimité point de vue ergonomie. On a plus l’impression d’utiliser un outil de test ou de développement qu’une application grand publique. L’absence de doc papier dans la boite, d’un simple bouton vers la documentation dans l’interface obligera à aller chercher tutos ou notice sur internet. Bref apres avoir ramé un peu on se dit que finalement c’était bien compliqué pour pas grand-chose, puis on oublis comment on a fait… pour ramer la fois suivante.
Pour une configuration ou le 1er démarrage, le flux type de travail est le suivant :
- Dans la liste des périphériques usb branchés, on sélectionne la base Virpil.
- Le logiciel lit alors le contenu de la mémoire de la base.
- Si elle n’a jamais servi ou si la mémoire a été effacé, il faut reconstruire un firmware via le bouton « profil ».
- On sélectionne alors le type de base que l’on souhaite programmer, la poignée qu’on met dessus et l’éventuel panel optionnel Virpil raccordé à la base (mais pas fixé dessus).
- Une fois les sélections effectuées, on envois le firmware à la base en pressant le bouton « create new profil ».
- A l’issue de la création du programme de l’eeprom, il faut encore calibrer les axes (les éventuelles deadzones et courbes…) et sauvegarder les données de calibration dans le profil.
- On peut enfin aller jouer, ou être un peu plus malin en effectuant la manip suivante.
En retournant dans le menu « Profil », il est possible de sauvegarder le contenu de l’eeprom dans un fichier, de manière à toute pouvoir recharger un profil complet sans avoir à tout sélectionner et calibrer… ca semble essentiel mais les boutons dédiés sont pas particulièrement mis en avant alors qu’ils sont la solution la plus rapide pour passer d’une config à l’autre 😊.
Ca c’est le minimum qu’il faut faire pour avoir un ensemble 2 axes 28 boutons fonctionnels.
Complet mais peu inspirant
L’outil permet de faire d’autres fonctions plus ou moins intéressantes, mais il faut un minimum de courage et d’apprentissage pour s’en sortir. L’ergonomie du VPC Configuration Tool n’est décidément pas le point fort de la marque. Très complet, le logiciel est bridé par son interface, enfin plutôt par l’absence d’ergonomie. Chez Virpil, il semble qu’on préfère la mécanique.
A noter que comme les poignées sont interchangeables, il est possible de monter la poignée Hotas pour main gauche VPC Constellation ALPHA-L qui offre plus d’axes à tarif identique dont un ministick sans doute bienvenu pour le futur Apache de chez DCS.
Au final
La vraie question est : y’a-t-il un bénéfice à passer par un périphérique aussi typé alors qu’une throttle « classique » peut faire le même job.
Et bien oui, ce collectif procure une précision accrue, de part le grand débattement du bras qui permet des corrections particulièrement fines. S’il faut donner une échelle d’amélioration, on peut dire qu’on gagne dans les 15 à 30% de performances et 100% de réalisme.
Pendant le vol virtuel, cela se traduit par une amélioration de la qualité de control de l’altitude en vol tactique ou lors des freinages contrôlés et autres « flares ».
A l’utilisation l’essentiel des défauts soulevés précédemment s’oublient. Seul la friction dissymétrique ou légère sticktion et le feeling des boutons gâchent un peu l’immersion (du moins si on a déjà connu mieux, un débutant ou joueur occasionnel ne sera pas perturbé).
Si l’ensemble n’est pas parfait, il reste un très bon choix. Comme écrit précédemment, le système rempli parfaitement son rôle. Certes de petites améliorations sont possibles mais ne boudons pas notre plaisir. En vol, la prise en main est immédiate, ce qui est très bon signe.
La construction, les matériaux de la base mais aussi l’originalité d’offrir un collectif… bien ca se paye. Achat par internet obligatoire, sur la boutique du fabricant : http://virpil-controls.eu/
Coté budget (attention les prix indiqués sur le site sont Hors Taxes) la poignée à 190€ HT, la Base à 190€ ou 290€ pour sa version plus… cela chiffre vite. Ajoutez à cela les frais de port et la TVA plus éventuelle taxe d’importation et de quoi fixer tout à votre cockpit/siège. Bref à ce prix, il faut vraiment aimer les hélicos. C’est définitivement un produit pour passionnés. Les amateurs seront en tout cas ravis. Une fois de plus, le consommateur gagne à avoir du choix et on se doit de remercier le fabricant de produire un systeme aussi typé.
charenton82
12/02/2022 at 13:10Vraiment bon article pour bien faire comprendre
Kima
15/02/2022 at 23:29Excellent article merci, et une prise de conscience de l’intérêt d’une commande ergonomique liée à une fonction de pilotage essentielle.
Marc_63
28/05/2022 at 16:29Très bon test, je possède le collectif depuis une semaine et je l’aime beaucoup.
J’avais vu deux solutions pour empêcher le collectif de descendre tout seul, une avec un amortisseur réglable et l’autre avec un contrepoids. J’ai essayé l’amortisseur en premier et je n’ai pas aimé. Avec le réglable de l’amortisseur au minimum et idem pour les visses de réglage du collectif il ne descendait plus quand je le relâchais mais il y avait toujours cette »sticktion » lors des mouvements. La solution du contrepoids est de beaucoup supérieure, très très légère résistance au mouvement, aucune stricktion au début du mouvement donc beaucoup de précision. Quelqu’un sur un forum anglophone ma dit que ce n’était pas réaliste d’avoir une très faible résistance au mouvement, moi ça m’importe peut je préfère en avoir moins. (la précision est meilleure)
Philippe LEBERICHEL
19/12/2023 at 08:23Bonjour,
Je suis à la recherche des reglages de la poignée des gaz pour le MD 500 de MFS sur la base Rotor TCS Plus. Pourriez vous m’aider s’il vous plait.